Bois bandé

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Nom de la plante

Bois bandé, Bois d’homme, Marbri

Dénomination latine internationale

Richeria grandis Vahl.

  • De nombreux synonymes sont rapportés : R. laurifolia Baill. ; R. obovata (Müll. Arg.) Pax & K. Hoffm. ; R. racemosa (Poepp. & Endl.) Pax & K. Hoffm. ; R. submembranacea Steyerm. ; Guarania laurifolia Baill. ; G. ramiflora Wedd. Ex. Baill. et Amanoa divaricate Poepp.
  • Plusieurs variétés sont mentionné dans la littérature, comme par exemple R. grandis var. longifolia (Baill.) Müll. Arg.; Au jardin de Kew, deux variétés sont reconnues : Richeria grandis grandis Vahl. et Richeria grandis gardneriana (Baill.) Müll.Arg

Famille botanique

  • Initialement classé dans les Euphorbiaceae, le genre Richeria est maintenant rattaché aux Phyllanthaceae.

Description et habitat

  • Arbre spontané en Guadeloupe, de taille oscillant entre 8 et 20 m
  • Feuilles obovales, coriaces et glabres, mesurant de 10 à 20 cm de long sur 5 à 10 de large
  • Fleurs mâles et femelles en épis étalés
  • Le fruit est une capsule ovoïde de 1 à 2 cm, renfermant des graines à arille jaune orangé

Histoire et tradition

  • On le trouve sur tous les marchés de Guadeloupe, des Antilles et îles des Caraïbes

Parties utilisées

  • Écorce

Formes galéniques disponibles

Dosages usuels

Composition

Composants principaux de la plante

Composants principaux des bourgeons ou jeunes pousses

Composants principaux de l'huile essentielle

Propriétés

Propriétés de la plante

  • Aphrodisiaque masculin [1]

Propriétés du bourgeon

Propriétés de l'huile essentielle

Indications

Indications de la plante entière (phytothérapie)

  • Impuissances

Indications du bourgeon (gemmothérapie)

Indications spécifiques de l'huile essentielle (aromathérapie)

Mode d'action connu ou présumé

Formulations usuelles

Réglementation

Effets indésirables éventuels et précautions d'emploi

  • En l'absence de données scientifiques, tant sur la composition que sur les propriétés biologiques, et compte tenu des risques de confusion avec d'autres drogues végétales, l'utilisation est à déconseiller.

Références bibliographiques

  • van Andel T., Mitchell S., Volpato G., Vandebroek I., Jorik Swier J., Ruysschaert S., Rentería Jiménez C., Raes N., In search of the perfect aphrodisiac: Parallel use of bitter tonics in West Africa and the Caribbean, Journal of Ethnopharmacology, Volume 143, Issue 3, 11 October 2012, Pages 840–850.
  1. Lans C. Ethnomedicines used in Trinidad and Tobago for reproductive problems. Journal of Ethnobiology and Ethnomedicine. 2007;3:13. doi:10.1186/1746-4269-3-13. [1]